Pays ayant un rôle actif et significatif dans le soutien logistique, politique et armé : l'Australie, la Bulgarie, la Corée du Sud, le Danemark, l'Espagne jusqu'en mars 2004 (retrait des troupes à la suite des élections législatives), les États-Unis, la Hongrie, l'Italie, le Japon, la Lituanie, les Pays-Bas, les Philippines, jusqu'en juillet 2004 (désengagement à la suite de l'exécution d'un otage philippin), la Pologne (fin d'engagement officielle le 4/10/2008), le Portugal, la Roumanie, le Royaume-Uni, la République tchèque, la Slovaquie, la Turquie, l'Ukraine. C'est le plan d'opération 1003V, qui est une « évolution » du plan de guerre de la première guerre du Golfe. Enfin, une dernière remarque pour les Munichois de gauche qui préfèrent la compromission à la guerre : imaginez le printemps arabe avec Saddam Hussein au pouvoir. nécessaire], et empêchèrent ainsi cette division blindée britannique de participer à l'offensive sur Bagdad au côté des forces américaines, comme cela était très probablement initialement prévu[77] ; une fois leur mission accomplie, les forces irakiennes de Bassorah ne se rendirent pas, mais « s'évaporèrent Â» [réf. L'un d'eux, cependant, tombe près du quartier général de la 1st Marine Expeditionary Force américaine, le 3 avril 2003 à 7h18 UTC[71]. Cela étant, qui dans les gouvernements est capable d'interpréter des photographies d'avions U-2 ? Mentions légales Via le site de Jacques Vassieux Le Front national a estimé samedi que “l’élimination physique de Saddam Hussein est pire qu’un crime, c’est une faute”. Renforcement au Nord de la puissance politique de l'islam Sunnite et donc de l'Arabie saoudite grâce aux milices d'Al-Qaïda qui font de l'Irak une terre de Jihad. nécessaire]) des rapports d'inspection qui étaient exclusivement destinés à l'ONU, a publié un livre en 2000, intitulé The Greatest Threat: Iraq, Weapons of Mass Destruction, and the Crisis of Global Security (ISBN 1-58648-039-1). À la fin du conflit, les données disponibles révèlent la mort de 62 membres d’organisations humanitaires, 231 journalistes, 318 « alliés Â», 3 418 prestataires de service employés par le département d’État et d’autres agences gouvernementales et 10 819 membres des forces militaires et de police « alliées Â»[166]. Le 19 août 2003, un attentat au camion piégé détruit le siège des Nations unies à Bagdad faisant 22 morts dont le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies en Irak, le Brésilien Sérgio Vieira de Mello. En octobre 2006, l'Organisation de la conférence islamique (OCI) rédige le « document de La Mecque Â». Une douzaine a été capturée le 21 juillet 2003 par les forces américaines. En mars 2004, les forces américaines et la nouvelle armée irakienne affrontent les insurgés dans la première bataille de Falloujah, baptisée « opération Vigilant Resolve[100] Â» : 2 000 marines et deux bataillons irakiens conquièrent les deux tiers de la ville et tuent 184 insurgées et 616 civils (nombre de blessés inconnu), pour 27 morts du côté de l'armée américaine[100]. Aux États-Unis, 25 % des sans-abris sont d'anciens militaires[168]. Le 1er décembre 2008, dans un entretien donné à la chaîne de télévision ABC News, le président Georges W. Bush a reconnu, concernant les armes de destruction massives, que « Le plus grand regret de toute cette présidence consistera dans la défaillance du renseignement en Irak. Renaud Girard : après Daech, comment sauver le Moyen-Orient ? Différentes commissions s'ouvrent courant juillet 2003, au Royaume-Uni et aux États-Unis, à propos des faux documents confirmant la présence d'armes de destruction massive soumis par ces gouvernements à leur population. Une campagne internationale réclame leur libération : les représentants des musulmans de France, le comité des oulémas musulmans (sunnites) et Yasser Arafat demandent la libération des deux journalistes français. En novembre 2008, les gouvernements irakien et américain signent un pacte bilatéral incluant le Status of Forces Agreement (SOFA) qui fixe à la fin 2011 le terme de la présence militaire des États-Unis. ». En août 2010, le président Barack Obama annonce la fin du retrait des troupes combattantes américaines tout en maintenant en Irak 50 000 « conseillers Â» qui resteront jusqu'en décembre 2011. Selon l'IBC, les violences ont atteint leur pic fin 2006, avant de commencer à baisser à partir de fin 2008[146]. Le "risque de mort" pendant ces dix années est trois fois plus important pour un homme que durant les années de dictature. Les anciens inspecteurs étaient en effet accusés de profiter des inspections pour recueillir des renseignements en Irak, l'Irak n'aurait pas son mot à dire sur la nationalité des inspecteurs, et Blix a précisé que « exclure la participation des États-Unis était exclu Â». Billet de blog. "Bagdad condamne l'intervention militaire turque, Ankara justifie son action contre le PKK", "Turkish Army Says Up To 100 Kurdish Rebels Killed In Northern Iraq", RFE/RL, 23 août 2011. En octobre 2009, le ministère irakien des Droits de l'homme avance qu'au total de 85 694 personnes ont été tuées depuis le début du conflit[3]. À partir de septembre 2014, l'Iran recommence à intervenir ouvertement en Irak, en envoyant des soldats d'élite de la force Al-Qods contre l'État islamique, pendant la seconde guerre civile irakienne[141],[142],[143]. Installer un régime démocratique qui servira les intérêts des alliés et qui de plus soutiendrait les occidentaux dans leur lutte contre plusieurs régimes islamiques voisins de l’Irak. Durant l’été 2004, les enlèvements se multiplient en Irak, créant un climat d’insécurité pour tous, ressortissants des pays membres de la coalition ou non. Le 23 mai 2003, l'administrateur américain en Irak, Paul Bremer, a annoncé la dissolution de l'armée irakienne et d'autres organismes de sécurité de Saddam Hussein, ce qui sera considéré par la suite comme l'une des plus graves erreurs de celui-ci. Les forces de l'armée régulière irakienne n'opposèrent pratiquement aucune résistance aux forces kurdes, ayant probablement eu pour consigne (pour motiver ses soldats dans une guerre qui se voulait être une « guerre de défense nationale Â» et non pas une guerre de défense du régime ou une guerre civile) de ne combattre que les forces « Ã©trangères Â», les Kurdes étant alors considérés par les Irakiens comme des Irakiens[réf. Mearsheimer et Walt répondent[26] par cette citation d'un enregistrement de l'allocution : « La menace non dite. Résolution 1441 du Conseil de Sécurité, 8 novembre 2002. Cette décision se heurte à un Congrès et une opinion publique hostile et majoritairement sceptique à cette démarche[188]. En 2010, hors un contingent américain dont le retrait est annoncé, il reste environ 150 Britanniques ayant un rôle de formateurs. De plus, selon le HCR, 1,8 million d'Irakiens ont été déplacés à l'intérieur du territoire. Selon le magazine Raids[167], en mai 2006, on dénombrait dans les forces armées des États-Unis : Les pertes matérielles sont dues aux faits de guerre et accidents, mais aussi aux conditions d'utilisation (poussière, chaleur). 140 000 militaires américains sont sur place en janvier 2009. Cette nouvelle armée irakienne qui a réengagé de nombreux soldats de l'armée de Saddam, jusqu'au grade d'officier subalterne ; selon le décret de Paul Bremer, les militaires au grade de colonel ou un grade supérieur sont écartés d'office de toute fonction gouvernementale ou militaire[169]. Il n’y a guère de contacts vers l’extérieur. Les médias ne peuvent diffuser des informations classifiées, des informations sur le nombre, l'équipement, la disposition, les manœuvres, les tactiques, les opérations, les cibles (etc) des forces armées. La police est largement infiltrée par les radicaux chiites partisans de Moqtada Al-Sadr[129]. nécessaire], l'un des deux fils de Saddam Hussein. Par ailleurs, il a dit qu'il y aurait des changements dans la façon de procéder, par rapport aux inspections qui ont eu lieu dans les années 1990[48] : Hans Blix a par ailleurs fait comprendre qu'aucun système n'était infaillible et qu'il s'attendait à ce qu'une « incertitude Â» persiste après les inspections[48]. Réfugiés Les inspecteurs de l'UNSCOM quant à eux débutent leurs inspections le 9 juin 1991. Alors tout le monde répond: ‘Montrez-moi une menace immédiate de l'Irak pour l'Amérique. Peu avant cette démission, le premier ministre britannique Tony Blair se réaffirmait convaincu de la présence d'ADM en Irak devant des journalistes. ». En juin 2003, la Coalition a mis sur pied l'Iraq Survey Group (ISG) chargé d'enquêter sur les anciens programmes d'armes de destruction massive irakiens. Message en cas d'erreur au focus sur le champ. Pour notre part, on se basera sur celle établie par « REPERES », projet financé avec le soutien de la communauté européenne qui a croisé les chiffres avec les statistiques officielles des pays concernés. Morts et blessés Certains journalistes étaient présents aux premières lignes, intégrés ou aux côtés des troupes de la Coalition, ou dans des zones potentiellement dangereuses. En 2006, John Mearsheimer et Stephen Walt reprennent dans la London Review of Books les propos attribués par les médias à Zelikov. nécessaire]. Le 5 décembre 2001, le chef de la diplomatie irakienne a dit que l'Irak refusait le retour des inspecteurs en désarmement demandé par Washington, estimant que seule l'ONU, et non les États-Unis, a le droit de décider de leur retour. Cela fut révélé au grand public en 2007[94] et il confirmera avoir menti en février 2011[95]. nécessaire], « fixèrent Â» la 1re division blindée britannique[75] flancgardée sur sa droite par la 3 Commando Brigade des Royal Marines débarquée à Faw, et disposant de l'appui aérien de la Coalition) dans les faubourgs de cette ville[note 7] pendant toute la durée du déplacement des forces américaines vers Bagdad [réf. Aucune critique ou contribution n'apparait, faisant cruellement défaut aux programmes. Le journaliste Ari Shavit écrivait le 3 avril 2003 dans le journal israélien Haaretz[27] : « La guerre d'Irak a été conçue par vingt-cinq néoconservateurs, juifs pour la plupart, qui incitent le président Bush à changer le cours de l'histoire .» Ari Shavit donnait la parole à un de ces néoconservateurs, William (Bill) Kristol, qui mettait au crédit de l'intervention américaine l'absence d'attaque contre Israël[28]. Outre le Royaume-Uni, les nations ayant alors des forces en Irak sont (dans l'ordre décroissant des effectifs) : la Corée du Sud, l'Australie, la Pologne, la Roumanie, le Danemark, le Salvador, la Géorgie, l'Azerbaïdjan, la Bulgarie, la Lettonie, l'Albanie, la Slovaquie, la République tchèque, la Mongolie, la Lituanie, l'Arménie, la Bosnie-Herzégovine, l'Estonie, la Macédoine, le Kazakhstan et la Moldavie soit plus de 14 000 militaires[69]. En octobre 2006, la revue médicale The Lancet estime le nombre de décès irakiens imputables à la guerre à 655 000[3],[151]. Des équipes de la CIA ont été envoyées en Irak pour trouver des preuves, après plus de deux mois de recherches infructueuses. L'Irak est contraint de remettre toutes ses armes chimiques et biologiques à l'UNSCOM afin qu'elles soient détruites, et a l'obligation de se conforter aux exigences du Traité de 1968 sur la non-prolifération des armes nucléaires. L'idée d'une guerre préventive au profit d'Israël, L'option diplomatique : tentative pour éviter le conflit devant l'Organisation des Nations Unies (ONU), L’échec du processus de désarmement de l’après-1991, La CIA à la recherche des armes de destruction massive, Efforts en vue d'un vote au Conseil de sécurité, L'option militaire : la guerre conventionnelle en mars 2003, Traque des ex-dirigeants irakiens baassistes, Polémique à propos des armes de destruction massive, Informations divulguées au cours de la guerre, De 2003 à 2010 : Occupation de l'Irak et guérilla, Occupation de l'Irak et début de l'insurrection, Prises d'otages par des groupes armés (2004), Interventions armées turque et iranienne, Seconde guerre civile irakienne et nouvelle coalition, Conséquences sur l'éducation supérieure, Conséquences religieuses en Irak : la guerre civile inter-confessionnelle, Conséquences sur la politique des États-Unis, Conséquences économiques pour les États-Unis, Conséquences politiques en dehors de l'Irak, « Le plus grand regret de toute cette présidence consistera dans la défaillance du renseignement en Irak. Le troisième argument en lui-même est une bonne raison d'aider les Irakiens, comme je l'ai souligné précédemment, mais ce n'est pas une bonne raison de risquer la vie de jeunes Américains. Les forces de la Coalition menée par les États-Unis, dont les forces sont déjà prépositionnées dans le Golfe Persique et prêtes à intervenir, lancent l'assaut sur l'Irak le 20 mars 2003. Donc nous avons recruté ce genre de personnes, nous leur avons demandé de nous aider Â»[45]. Depuis septembre 2007, on assiste à un retour de plusieurs dizaines de milliers de réfugiés[161]. La résolution stipule qu'il pourra demander le départ de la coalition, mais celle-ci peut toujours intervenir à chaque fois qu'elle l'estime nécessaire. Beaucoup de sociétés américaines se sont enrichies grâce aux contrats engendrés par l'intervention militaire (telles que, 389 milliards de frais de fonctionnement pour les opérations futures, 127 milliards pour les indemnités et pensions des anciens combattants. Puis en juin 2014, l'État islamique en Irak et au Levant, renforcé par son engagement dans la guerre civile syrienne, lance une grande offensive dans l'ouest de l'Irak. L’Iran paiera un plus lourd tribut que son adversaire. nécessaire]. Écarter une menace qui pèse sur le monde, due aux capacités qu’a Saddam Hussein à mener une guerre ; neutraliser les armes de destruction massive (biologique, chimique et nucléaire) ainsi que les missiles à longue portée et les autres armements, frapper des cibles militaires sélectionnées, rendre au Koweït des biens (œuvres d’art, matériel militaire) et des prisonniers de guerre, qui ont été dérobés lors de la première guerre du Golfe. »[173]. Beaucoup de scientifiques et étudiants manquent de connaissances linguistiques pour un échange international. Plus d'un Américain sur deux pense que George W. Bush a « intentionnellement trompé Â» l'opinion américaine sur les raisons d'engager cette guerre. Premières « Ã©lections libres Â» depuis plus de 50 ans (bien que le caractère libre de ces élections soit sujet de polémiques Ã. Investissements dans le pétrole par des sociétés étrangères, ce qui empêche l'Irak de bénéficier pleinement de cette ressource, investissements que les irakiens ne peuvent refuser car les raffineries de pétroles sont sous le contrôle des forces spéciales et des armées américaines et britanniques. Divers incidents vont se produire : Durant l'été 1991, l'UNSCOM obtient des photos aériennes de surveillance de l'Irak qui ont été prises par un avion espion américain Lockheed U-2 de la CIA. Dans ce conflit d’un nouveau genre, difficile de chiffrer le nombre exact de … Cela remettrait les effectifs américains au niveau de décembre 2005 au moment des élections législatives dans ce pays[189]. Le gouvernement irakien perd le contrôle d'un tiers de son territoire[13]. En 2011, le nombre total de soldats décédés en Irak … Le Conseil de sécurité de l'ONU n'a pas pu se mettre d'accord entre les partisans : Plus spécifiquement, les arguments américains seront développés comme suit : Après la guerre du Golfe, le Conseil de sécurité des Nations unies adopte le 29 novembre 1990 la résolution 687 qui, en son article 8, décide que « l’Irak doit accepter inconditionnellement que soient détruits, enlevés ou neutralisés, sous supervision internationale : Cette résolution 687 met en place le 3 avril 1991 l'United Nations Special Commission (UNSCOM), dont la mission est d'inspecter les installations nucléaires, chimiques et biologiques irakiennes. Après avoir lancé une offensive en Afghanistan, lieu où Oussama Ben Laden se serait réfugié après les attentats du 11 septembre 2001, et suspectant des liens entre le régime irakien et les terroristes d'Al-Qaïda, George W. Bush charge Donald Rumsfeld et Tommy Franks de constituer un plan d'attaque contre l'Irak. Créez un compte afin d'accéder à la version numérique du magazine et à l'intégralité des contenus du Point inclus dans votre offre. nécessaire] la communication au Pentagone du contenu militaire (plans détaillés de l'intérieur des installations industrielles inspectées en Irak par les inspecteurs en désarmement de l'UNSCOM, ayant permis la programmation des bombes guidées par GPS utilisées pour la destruction de ces installations en 1998 et en 2003 [réf. On pourra y lire encore que près de la moitié des sondés trouvent que la situation en Irak a empiré ces trois derniers mois (37 % estiment qu'elle est stable et 12 % pensent qu'elle s'améliore)[193]. Le 23 juillet 2003, cent jours après la fin déclarée par l'occupant, de la guerre, Amnesty International publie un article, exposant que les droits de l'homme ne sont toujours pas respectés par l'armée américaine en Irak (tortures, assassinats, détentions dans de mauvaises conditions de prisonniers, même innocentés)[99]. Elle estime que l'invasion de l'Irak n'était pas justifiée[205]. De nombreuses associations américaines, pour la plupart hostiles à la guerre, suivent de près l'évolution des surcoûts liés à la guerre. Kofi Annan a également averti que ce n'était pas une « négociation Â» et que la durée des inspections et de la surveillance seraient décidés par les Nations unies et l'Irak n'aurait rien à y dire, Hans Blix a prévenu que si l'Irak n' « ouvrait pas toutes les portes Â» et ne coopérait pas pleinement, il stopperait les inspections et recommanderait le maintien des sanctions économiques contre l'Irak. Cette annonce a été faite à la suite de la réouverture d'un examen préliminaire rouvert en 2014. Fin juillet 2008, le président Bush annonce le retrait des troupes américaines des agglomérations irakiennes pour la fin juin 2009 et la date du 31 décembre 2011 pour le retrait des unités combattantes américaines de ce pays[115]. C’est un régime qui a déjà utilisé des gaz asphyxiants pour massacrer des milliers de ses propres citoyens, laissant les corps des mères courbés sur leurs enfants morts. Le 18 décembre 2011, les forces américaines achèvent leur retrait du pays[14],[15]. Dès mai 2004, une vidéo diffusée sur internet présente au monde entier la décapitation de l'entrepreneur américain Nick Berg. chronologie de la geurre d'irak Modifier. Classement Guerre Dates Morts Morts par jour Pop. Ce serait revenir sur ce qu'on a fait, et c'est une chose que je ne peux pas faire. Des caches d’armes, des bunkers et des réseaux de tunnels sont découverts.