L'invasion du Koweït est condamnée par la communauté internationale qui vote la résolution 660 dès le 2 août 1990, puis elle conduit à des sanctions économiques immédiates contre l'Irak. La guerre a pris fin avec l'annexion de Koweit tous ' Irak, non reconnu par 'ONU. Perry M. Smith, « How CNN fought the war: A view from the inside », 1991, New York, Birch Lane Press. Les hostilités ont continué jusqu'à la fin février 1991, date à laquelle le Koweït sera libéré[16]. Cette invasion, élément déclencheur de la guerre du Golfe, conduit ainsi directement à l'intervention militaire des États-Unis contre l'Irak en janvier 1991. J. P. Stucker, J. F. Schank, B. Dombey-Moore. Ses opposants, aujourd'hui au pouvoir à Bagdad, ont retissé les liens avec ce voisin stratégique. Un total de quarante victoires aériennes alliées a eu lieu, 27 par des missiles AIM-7M, dix par des missiles AIM-9M/P, deux hélicoptères détruits au canon par des A-10, un autre détruit en vol par une bombe à guidage laser tirée depuis un F-15E Strike Eagle[22]. Le rapport d'une mission de l'ONU, dirigée par le sous-secrétaire Martti Ahtisaari, envoyée en mars 1991 pour évaluer les besoins humanitaires de l'Irak, décrit l'état du pays comme « quasi-apocalyptique »[28]. Certains journalistes ont été choisis et ont eu l’autorisation d’aller dans un « press pool ». Le conflit débute le 2 août 1990 à 2h00 du matin[7], les divisions de la Garde républicaine irakienne et les forces spéciales de l'armée irakienne sont les premières à entrer sur le sol koweïtien. Aidez-moi financièrement sans payer : https://utip.io/telecrayon LIRE LA DESCRIPTION Résumé de la guerre Iran-Irak entre 1980 et 1988. Un bombardement mené par des F-111 de l'USAF pour limiter l'écoulement du brut et incendier le pétrole ainsi que les mesures prises telles que des barrages flottants ont limité les dégâts. En plaçant un monarque étranger à l'Irak, une sorte de "marionnette" qui devait tout aux Britanniques, ce qui signifiait pour les nationalistes et les Baasistes que le pays était quasiment un protectorat britannique jusqu'en 1958, avec le coup d'état militaire qui mit fin à cette monarchie. Voir. Cette réduction drastique est due à la fois aux bombardements aériens et aux sanctions économiques appliquées ensuite par l'ONU (résolution du Conseil de sécurité des Nations unies no 661 ; la résolution 687 d'avril 1991 permettait l'envoi de denrées alimentaires et de fournitures médicales, mais pas des matériaux nécessaires à la reconstruction du réseau électrique et d'eau potable)[27]. Le colonel américain Kenneth Rizel estime à 3 000 le nombre de morts chez les civils[23]. Ruth Blakeley, Department of Politics, University of Bristol, 2001 (Revised in February 2003). Début de l’opération « Tempête du désert ». La guerre du Golfe est un conflit qui oppose, du 2 août 1990 au 28 février 1991, l'Irak à une coalition de 35 États, dirigée par les États-Unis à la suite de l'invasion et l'annexion du Koweït par l'Irak. Douglas Kellner (en), professeur à Columbia, affirma en 1992 qu’à cause des médias, la guerre avait été perçue comme un récit passionnant. La 35e brigade mécanisée de l'armée koweïtienne parviendra par ailleurs à battre en retraite en Arabie saoudite ainsi qu'une partie de l'aviation koweïtienne et de la marine de ce pays. Elle se fit immédiatement connaître comme la « chaîne de la guerre ». Le prix du pétrole, en 1990, était pour beaucoup dans la décision de l'Irak d'envahir le Koweït et dans celle des Etats-Unis de riposter par la guerre du Golfe. De plus l'Union soviétique, et par ricochet, les États-Unis, membres du Conseil permanent de l'ONU, cessent d'user de leur veto. intéresserons à la première, opposant l’Irak et le Koweït entre 1990 et 1991. Initialement, l’Irak avait affirmé avoir enregistré l'arrestation de seulement 126 des 605 Koweïtiens portés disparus[18]. Adoptée par 12 voix contre 2 (Cuba, Yémen) et 1 abstention (la Chine), c'est la première résolution de l'ONU à autoriser le recours à la force depuis la guerre de Corée (1950)[16]. Le 25 juillet 1990, l'ambassadrice américaine en Irak, April Glaspie (en), demande au gouvernement irakien les raisons pour lesquelles l'armée irakienne se déploie massivement du côté de la frontière koweïtienne. Des soldats saoudiens au Koweït, prenant par à l'assaut de la coalition contre l'Irak, lors du deuxième jour de la guerre du Golfe, le 25 février 1991. Il y a 30 ans, l’invasion éclair du Koweït par l’Irak Le 2 août 1990, l'armée de Saddam Hussein déferle sur l'émirat et annexe ce petit territoire riche en pétrole. Sans de telles ressources naturelles, l'existence de cet État n'aurait pas de sens et les Britanniques ne l'auraient pas créé. La guerre du Golfe a provoqué non seulement des destructions au Koweït et en Irak, mais aussi la dislocation de circuits commerciaux et le rapatriement de nombreux travailleurs immigrés dans leur pays d'origine qui, dès lors, ont été privés d'importants transferts financiers. Ils achetaient le bois au Pakistan ou en Perse, et fabriquaient des bateaux qui naviguaient dans tout le golfe arabo-persique. Saddam Hussein lui-même devait choisir CNN pour s’adresser aux nations occidentales[33]. Le 15 mars 1991, l'émir du Koweït, Jaber al-Ahmad al-Sabah, rentre au pays après avoir passé plus de 8 mois en exil[17]. Le premier ministre irakien Saadoun Hammadi déclare seulement le 19 février 1991 que « les 26 premiers jours de l'offensive ont fait 20 000 morts et 60 000 blessés »[1]. Plusieurs raisons officieuses ont été avancées afin de justifier l'invasion irakienne : l'incapacité de l'Irak à rembourser les 80 milliards de dollars qui avaient été empruntés au Koweït pour financer la guerre Iran-Irak et la surproduction koweïtienne de pétrole qui a provoqué des baisses de revenus pour l'Irak[5]. Au cours de l’été 1990, les finances de l'État sont au bord de la banqueroute. Le 2 août, le Conseil de sécurité de l’ONU exige le retrait immédiat du Koweït par la résolution 660 ; le 3 août, la Ligue des Etats arabes condamne l’invasion irakienne ; le 6 août, la nouvelle résolution 661 de l’ONU décide du boycott général … 17 janvier. La grande majorité des forces militaires de la coalition viennent alors des États-Unis, avec l'Arabie saoudite, le Royaume-Uni et l'Égypte comme principaux contributeurs, dans l'ordre. la libération du Koweït a été la bataille terrestre menée par la Coalition entre le 24 et le 28 Février 1991 au cours de la guerre du Golfe, est entré en action 39 jours après le début de 'Opération Tempête du Désert. Dès ce moment, les communautés internationale et arabe se mobilisent sur le plan diplomatique et militaire. C'est alors que le Koweit augmente unilatéralement sa production de 20% en rompant la solidarité entre les pays exportateurs de pétrole. Pour le bombardement de l'abri d'Amiriya par l'aviation américaine, les estimations sont d'environ quatre cents morts, tous civils[19]. En 1992, les universitaires américains Robert W. Tucker (en) et David C. Hendrickson donnent les bilans suivants, donnés par différentes sources[1] : En 2002, l'universitaire américain Stephen Alan Bourque chiffre les pertes irakiennes entre 25 000 et 50 000 tués, 80 000 prisonniers, 3 300 chars, 2 100 véhicules blindés de transport de troupes et 2 200 pièces d'artillerie[4]. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) n'enregistre aucun cas de choléra en 1990, plus de 1 200 en 1991 et plus de 1 300 en 1994[27]. Plusieurs pays, comme l'URSS et la Chine, ont placé un embargo sur les armes à l'Irak. Au cours de l’été 1990, les finances de l'État sont au bord de la banqueroute. Propagande et désinformation font varier les estimations de 4 000 à 400 000 morts »[5]. Les trois principales chaînes télévisées américaines (ABC, CBS et NBC) étaient présentes sur le terrain et ont couvert la guerre en direct. Cette invasion, élément déclencheur de la guerre du Golfe, conduit ainsi directement à l'intervention militaire des États-Unis contre l'Irak en janvier 1991. Les chiffres des pertes irakiennes varient très largement selon les sources[1]. Que les lecteurs . La guerre civile libanaise touche à sa fin et l'URSS s'est retirée d'Afghanistan. communément seconde guerre du Golfe, la première étant le conflit [limé de 1980 il 1988 entre l'Irak et l'Iran Les raisons qui amènent l'Irak à revendiquer périodiquement la princi pauté du Koweit sont de trois ordres: historique, géographique et économique. Ayant une dette de 80 milliards de dollars US (contractée pour se fournir en armements pour la guerre Iran-Irak), l'Irak exige du Koweït l'annulation d'une créance de 10 milliards de dollars US. Le 30 juillet, une réunion de médiation est organisée à Djeddah ; elle échoue[15]. En août 2019, 369 personnes sont toujours portées disparues[19]. 'inva sion americaine de ! L’invasion du Koweït, également connue sous le nom de guerre Irak-Koweït, est un conflit majeur entre l'Irak de Saddam Hussein et le Koweït, du 2 au 4 août 1990. La crise éclate le 2 août 1990, lorsque l'Irak, dirigé par le président Saddam Hussein, envahit et annexe le Koweït.Cette invasion a des causes lointaines et récentes. Un cessez-le-feu a lieu le 27 février, après l’évacuation de l’émirat par les troupes de Saddam Hussein. http://news.bbc.co.uk/2/hi/middle_east/8048477.stm, L'invasion du Koweït par l'Irak, 2 août 1990, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Invasion_du_Koweït&oldid=175516419, Page géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Conflit militaire géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Article contenant un appel à traduction en anglais, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Lors de l'occupation, environ 1 000 civils koweïtiens ont été tués par l'armée irakienne qui a affronté une résistance désorganisée. Cette guerre, dite guerre du Golfe parce qu'elle se déroule sur les bords du golfe Persique, trouve son origine dans la précédente g uerre engagée par l'Irak contre l'Iran. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. De nombreuses nations rejoignent la coalition, y compris la France, ce qui en fait la plus grande alliance militaire depuis la Seconde Guerre mondiale. Il y a 30 ans la première “Guerre du Golfe” 9 janvier 2021 AVANT-PROPOS : les articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » ne représentent pas les positions de notre tendance, mais sont publiés à titre d’information ou pour nourrir les débats d’actualités. Articles détaillés : Invasion du Koweït et Guerre du Golfe. En 1990, l'Irak accuse officiellement le Koweït d'avoir volé du pétrole irakien par forage oblique, bien que certaines sources irakiennes indiquent que la décision de Saddam Hussein d'attaquer le Koweït avait été mise au point de nombreux mois avant l'invasion[4]. L’invasion du Koweït, également connue sous le nom de guerre Irak-Koweït, est un conflit majeur entre l'Irak de Saddam Hussein et le Koweït, du 2 au 4 août 1990. Elle a eu lieu à un moment où les progrès technologiques de la télévision la mettaient en mesure de présenter instantanément et en direct, des images de n’importe où dans le monde. Des traces de fumée furent retrouvées sur l'Himalaya. Le témoignage se révèlera être mensonger et avoir servi à favoriser l'entrée en guerre des Occidentaux. L'argu.men t historique Il y a 30 ans, l’invasion éclair du Koweït par l’Irak Le 2 août 1990, l'armée de Saddam Hussein déferle sur l'émirat et annexe ce petit territoire riche en pétrole. Les journalistes chanceux ont dû être accompagnés par des soldats, officiellement pour des raisons de sécurité. Cette même année, les Iraniens lancent la guerre des pétroliers et arraisonnent plusieurs tankers koweïtiens, le Koweït ayant apporté son soutien à l’Irak dans cette guerre contre l’Iran. Le 2 août 1990, les troupes irakiennes envahissent le Koweït. S/RES/660 (1990). Malgré la brièveté de la guerre, les communications de l'administration américaines pendant la guerre du Golfe ont été importantes. Pour la première fois, la population a pu assister en direct à des scènes inquiétantes de la guerre. Terminé en 1988, ce conflit meurtrier a laissé les deux pays exsangues. La Chine, autre pays communiste majeur, plutôt préoccupée par son développement et sa croissance, sera plus inquiète de son approvisionnement en hydrocarbures, et préoccupée par d'éventuels troubles qui perturberaient le golfe Persique, et donc, ses fournitures en pétrole, et ne pose pas de veto à l'ONU, tout en suivant l'évolution de la situation. En juin 1991, l'avocat Dominique Tricaud, membre de la Commission d'enquête « Vérité sur la guerre du Golfe », déclare estimer les pertes irakiennes à entre 35 000 et 45 000 morts pour les civils et à entre 85 000 et 110 000 morts pour les militaires[2],[21]. L'offensive est une grande surprise pour les forces koweïtiennes qui avaient réduit leur niveau d'alerte. Les pertes économiques, les dépenses militaires et les conséquences écologiques de ce conflit relativement court mais de haute intensité sont énormes. 'Afghanistan, le renversement manu militari de Saddam Hussein, !es Printemps arabes, !es noyades de migrants, !es crises flnan Après plusieurs heures de combats, le Koweït tombe dans les mains de l'armée irakienne, qui parvient à capturer la résidence de l'émir Jaber al-Ahmad al-Sabah, le palais Dasman, protégé par la Garde nationale koweïtienne et la police locale. Saddam Hussein comptait aussi sur l'aide de l'URSS, alors moribonde (l'URSS prendra fin officiellement en décembre 1991), en la motivant idéologiquement contre son adversaire américain de la Guerre froide, et en espérant la lancer dans le conflit. En […] Lire la suite Son demi-frère, le cheikh Fahad Al-Ahmed Al-Jaber Al-Sabah sera tué par les forces irakiennes. Plus de 400 000 civils koweïtiens et des milliers de ressortissants étrangers fuient le pays, soit environ la moitié de la population koweïtienne[9]. L'Union soviétique est en effet dans la période de perestroïka et de glasnost, ce qui éloigne chez les Américains la peur qu'un régime communiste profite de la guerre pour se mettre en place. Le Koweït et l'Arabie saoudite paient environ 32 milliards de dollars sur les 60 milliards que coûte le conflit. Effectifs et équipements de l'armée irakienne au Koweït et dans la région : Effectifs de la coalition : 938 545 hommes. En plus des destructions dues à tout conflit militaire et de l'impact sanitaire de l'uranium appauvri, il y eut un désastre écologique régional dû à l'incendie de 732 puits de pétroles koweïtiens par les forces irakiennes qui voulaient ainsi obscurcir le ciel dans l'idée de gêner l'activité aérienne de la Coalition et de nuire à l'économie mondiale, environ 20 millions de tonnes de pétrole furent déversées dans le sol. Le sort de 605 Koweïtiens arrêtés pendant l'occupation est resté inconnu jusqu'en 2009, date à laquelle les restes de 236 d'entre eux ont été identifiés en Irak. En d’autres mots, les gens ont pu voir un missile en action. Allied planes bomb Iraq: Kuwait's liberation begun, says US, Feb. 25, 1991: Iraq withdraws from Kuwait. La guerre est divisée en deux phases : l'opération Bouclier du désert (en anglais Desert Shield), du 2 août 1990 au 17 janvier 1991, au cours de laquelle les troupes se renforcent et défendent l'Arabie saoudite, et l'opération Tempête du désert(en anglais Desert Storm), du 17 janvier au 28 février 1991, phase de combat, qui co… la libération du Koweït a été la bataille terrestre menée par la Coalition entre le 24 et le 28 Février 1991 au cours de la guerre du Golfe, est entré en action 39 jours après le début de 'Opération Tempête du Désert. De haut en bas et de gauche à droite : des, Endettement irakien et différend pétrolier, Pertes militaires de la coalition occidentale, « impossible d'avancer des statistiques sérieuses sur les pertes irakiennes. C’était la première fois, dans le cadre d’un événement tel qu’une guerre, que des journalistes devaient être escortés pas des responsables militaires[35]. bien pensants » ne crient pas au scandale. Les habitants du Koweït ne se sont jamais bien entendus avec les Irakiens qui les ont toujours méprisés. Les besoins en pétrole satisfaisant un nombre croissant de pays, le paroxysme de l'anti-impérialisme, des mouvements pour la paix et la démocratie expliquent une telle intervention. Genèse du conflit. La prononciation koweïtienne est [lɪkˈweːt]. Au total, dans toute l'opération Tempête du Désert, les pertes de la coalition sont de 240 morts et 776 blessés, qu'il convient d'additionner avec les 138 soldats tués et 2 978 blessés hors combat, dans divers accidents, depuis Bouclier du Désert ; 41 militaires alliés étaient par ailleurs prisonniers des Irakiens. Saddam Hussein et ses proc… Il y a 30 ans, Saddam Hussein proclamait le Koweït "19e province" de l'Irak. Invasion du Koweït conduira à guerre du Golfe en 1991. En revanche, la destruction des usines hydroélectriques et autres installations électriques, qui a permis d'anéantir les capacités de command and control (en) de l'armée irakienne, a provoqué l'explosion d'épidémies de gastro-entérites, de choléra et de typhoïde, en empêchant le fonctionnement des centres de traitement d'eau potable et d'eau usagée. Lors de la marée noire due à l'ouverture volontaire du terminal de Mina al Ahmadi par l'Irak le 20 janvier 1991, 800 000 tonnes de pétrole brut se répandirent dans le golfe Persique et polluèrent les côtes koweïtiennes, saoudiennes et iraniennes. La guerre du Golfe de 1990-1991 ou guerre du Koweït, est un conflit qui opposa l'Irak de Saddam Hussein à une coalition de 34 États, soutenue par l'Organisation des Nations unies entre 1990 et 1991. L’émir et sa famille se réfugient en Arabie Saoudite tandis qu’un gouvernement provisoire pro-irakien est formé. En 1990, les ressources financières du royaume étaient supérieures aux ressources du pétrole. Avant la guerre, en 1990, l'Irak produisait environ 8 900 millions de watts; en 1999, ce chiffre avait été réduit à 3 500[27]. 1991. L'objectif était de débarrasser le Koweit occupé par Garde républicaine irakienne, dirigé par le dictateur Saddam Hussein. Ainsi, selon lui, cette campagne aérienne aurait permis d'éviter nombre de « dégâts collatéraux », ne faisant que 3 000 morts chez les civils de façon directe malgré le largage de 88 000 tonnes de bombes en 43 jours[23] (davantage que ce qui fut largué en 1943 par les Alliés).