mammifère de la cordillère des andes — Solutions pour Mots fléchés et mots croisés. La chaleur du soleil leur permet de retrouver le niveau de température corporelle nécessaire à leurs activités. L´alpaga, appelé en quechua « pacocha« , a une figure plus petite et plus courbée que le lama. La dernière modification de cette page a été faite le 19 décembre 2020 à 11:11. Il est parfois appelé Grand Condor des Andes, du fait de sa taille. Vidal de La Bl., Princ. Agacé, le lama couche les oreilles et montre des dents. Dans la partie Nord de son aire de répartition, où la population est en fort déclin, il semble selon plusieurs études que la raréfaction de sa nourriture en zone sauvage soit le problème majeur[2]. Son pelage est d’une couleur marron clair sur le dos et sur presque toute la partie extérieure de son corps ; mais le poitrail, le ventre et l’intérieur des pattes sont de couleur blanchâtre. Par exemple, le mâle de la Grande Outarde, autre gros oiseau volant terrestre de l'Ancien Monde, peut parfois aller jusqu'à peser 20 kg (records avérés à 19 kg en Espagne et 21 kg en Mandchourie[8]), mais avec un poids moyen d'espèce autour de 10 kg, en raison d'un fort dimorphisme sexuel[N 1] (la femelle est beaucoup plus petite que le mâle, avec un poids moyen de 5,5 kg), et parce que les grands individus y sont plus rares que chez le condor. Le Condor des Andes était un oiseau mythique et vénéré pour les peuples Inca et préincaïques. Des programmes de reproduction en captivité ont été mis en place dans plusieurs pays. Il est aussi l'oiseau terrestre volant qui a l'envergure la plus longue du monde (moyenne ː 3,00 à 3,20 mètres, maximum ː 3,50 mètres), n'étant dépassé que par l'Albatros hurleur (moyenne ː 3,10 m, mais maximum ː 3,70 m, pour un poids moyen d'espèce de 8 kg[11]), le Pélican frisé (moyenne ː 2,70 à 3,20 m, maximum ː 3,50 m, lui aussi), mais ce sont là encore des oiseaux aquatiques ou pélagiques[8],[12]. On dit alors qu'il peut réussir à s'emparer de jeunes enfants, ou de petits animaux de ferme (comme moutons et chèvres). 1. Remsen, J. V., Jr.; C. D. Cadena; A. Jaramillo; M. Nores; J. F. Pacheco; M. B. Robbins; T. S. Schulenberg; F. G. Stiles; D. F. Stotz & K. J. Zimmer. Le lama se rencontre dans les Andes du Chili au sud de la Colombie, où il est élevé par les indigènes. Vivant à des altitudes de 3 000 à 5 000 m, généralement sur des rochers inaccessibles, le condor est essentiellement charognard. géogr. Si cet oiseau mange trop, il sera incapable de s'envoler à même le sol ; il devra attendre le processus de digestion, et, en cas d’alerte ou de danger, dégurgiter son repas. Chez le mâle, il y a une caroncule sous le cou et une grande crête sur le sommet de la tête. Le lama Ses pattes, son cou et sa tête ont une forme allongée et il peut atteindre 1,90 mètres de la tête jusqu’aux sabots. D'ailleurs ses territoires sont généralement non boisés et rocheux, en raison des altitudes qu'il affectionne, et parce que le climat peut y être semi-désertique, et aussi parce que les étendues dégagées facilitent la recherche des carcasses[2]. En poursuivant votre navigation, vous acceptez l’utilisation de cookies qui nous permettent de collecter des statistiques sur les visites et vous proposer du contenu de meilleure qualité. Le condor a donc recours à son puissant bec crochu pour dépecer ses proies[1], les maintenant seulement au sol sous son propre poids pour une courte durée. Le lama est un animal important pour l'écosystème des Andes, comme le cerf dans nos forêts. Dans l'imaginaire collectif, les habitants de la Patagonie du sud-ouest considèrent ce royal charognard avec le plus grand des respects. Femelle adulte à la Cruz del Cóndor, Canyon de Colca, Pérou en mai 2013. Au nord, il est présent au Venezuela et en Colombie mais il y est extrêmement rare ; il est surtout réparti au sud sur tout le long de la cordillère des Andes en Équateur, au Pérou, au Chili, en Bolivie et en Argentine jusqu'en Terre de Feu où il n'est pas rare de le voir voler au-dessus des nombreux fjords des canaux chiliens[35]. Leur pointe flexible réduit aussi les turbulences qui pourraient déstabiliser l'équilibre subtil du vol de ce grand voilier planeur [20]. « Où que la mort frappe, ce fossoyeur de la nature n'est jamais loin pour nettoyer au plus vite une carcasse[4] ». Dans ce cas il a été remarqué que le ou les deux premiers mois, un des deux parents est toujours présent au nid, puis pour le temps restant d'incubation, ils continuent à se relayer au nid mais passent graduellement plus de temps hors du nid, sans trop séloigner du site de nidification[2]. Or de nos jours, on sait que le condor ne peut attaquer des proies vivantes que si elles sont petites (rongeurs, reptiles...), et ne peut rien emporter dans ses serres qui en sont physiologiquement incapables. En Terre de Feu, les amérindiens Onas le nommaient « chalna » et les Yamanas « gurgu », « huairao » ou « huairu ». Un autre condor des Andes mâle, surnommé "Thaao", est né en captivité au Zoo Beardsley dans le Connecticut en 1930, et mort le 26 janvier 2010, à presque 80 ans, donc[24]. Une coiffe en or mochica avec la représentation de deux condors. C'est seulement sur la façon dont les deux familles diffèrent que portent actuellement les discussions, certaines autorités ayant suggéré antérieurement que les vautours du Nouveau Monde étaient plus étroitement liés aux cigognes[49]. Originaire des Andes, le lama s’adapte aussi bien aux zones escarpées qu’aux plaines. Avec la toison on obtient au maximum 320 gr de fibre. Elle ne serait plus en 2018 que de 6 700 individus en Amérique du Sud[40]. La tête est noire ou brun-rougeâtre foncé dans l'ensemble chez le mâle, mais la peau nue de la tête et du cou peut changer de couleur en fonction de l'état émotionnel de l'oiseau, comme on l'a vu ː du rose rougeâtre au bas du cou, au rosâtre tacheté ou au jaune plus haut. Cette espèce est décrite par le naturaliste suédois Carl von Linné en 1758 dans la dixième édition de Systema Naturae[47] sous son nom binominal actuel. La cordillère des Andes, s'étend sur plusieurs pays : l' Argentine, la Bolivie, le Chili, l' Équateur et le Pérou. Son poids à la naissance est d’environ 11,5 kg et à l’âge adulte il atteint 115 kg. L'incubation dure entre 55 et 58 jours[3]. A la naissance il pèse 7 kg. Sa taille moyenne est de 105 cm mais peut aller jusqu'à 130 cm avec un poids moyen observé de 9 kg à 12 kg[6]. Ce combat qui se transforme en un véritable rituel représente la revanche des Indiens sur les conquistadores. Le territoire d'exploration du Condor des Andes pour la recherche de nourriture est d'autant plus vaste qu'il vole pas moins de 320 km par jour et à très haute altitude[2]. On l'a vu, sa quasi-calvitie est une adaptation pour l'hygiène, permettant à la peau d'être plus accessible au nettoyage par frottement, ainsi que d'être exposée aux effets stérilisants de la dessication et de la lumière ultraviolette aux hautes altitudes[22]. Il est attesté au zoo dès 1942. Il était considéré par eux comme un messager de transcendance, ainsi que nous l'avons vu, grâce à la hauteur exceptionnelle de son vol. Donc, « la reproduction étant particulièrement lente, si trop d’adultes sont tués, la population décroît très rapidement[1] ». De même, pour ce qui est des ailes, le Condor des Andes est l'oiseau volant dont la surface alaire est la plus grande du monde[8]. C'est seulement chez les Urubus à tête rouge, que les deux sexes, tout en étant d'apparence identique, présentent toutefois un léger dimorphisme pour la taille, mais chez eux, comme chez la plupart des rapaces, c'est la femelle qui a tendance à être plus grande et plus lourde que le mâle. En dehors du fait que la taille du condor lui permet de s'imposer en premier dans ce festin partagé, c'est aussi pour cela que les urubus lui laissent volontiers la priorité, ce qui a aussi l'avantage d'éviter des conflits qui seraient coûteux en énergie comme on l'a vu. Le Condor des Andes est principalement un charognard qui se nourrit de cadavres d'espèces diverses, notamment ceux de la famille des camélidés tels la vigogne, l'alpaga, le lama ou bien le guanaco, mais aussi de cadavres de bétail comme les moutons ou les bœufs. Son dos est gris, le reste de son pelage roux. De plus, les empoisonnements de condors dus aux pesticides se multiplient ces dernières années en Argentine, notamment à cause de l'utilisation du carbofuran, un insecticide interdit en France en 2008 à cause de sa dangerosité, ainsi qu'en témoigne un article de 2018 au titre éloquent ː « [Encore] 34 condors des Andes empoisonnés en Argentine par un pesticide[40] » (avec plusieurs moutons et chèvres, ainsi qu'un puma ː c'était probablement lui qui était ciblé par les éleveurs, avec leur carcasse empoisonnée, pour protéger leurs troupeaux ; la mort des condors ne serait ainsi qu'un dégât "collatéral"). Et ceci fait de lui l'un des charognards les plus performants dans le recyclage de la matière vivante. Condor des Andes mâle, avec caroncules (crête haute, excroissances, et crête basse sous le bec ici peu développée ː c'est un jeune adulte) ; iris doré et collerette immaculée (Sanctuaire animal de Cochahuasi, Písac, Département du Cuzco, Pérou). De même, le poids du Pélican frisé peut lui aussi aller jusqu'à 15 kg, mais avec un poids moyen pour les mâles entre 10,4 kg et 11,5 kg, et 8,7 kg pour les femelles, donc un poids moyen d'espèce en dessous de 10 kg. Il préfère les grandes carcasses, telles que celles de cerfs, de bovins ou de camélidés des Andes (le lama et ses cousins). A l’instar de leurs cousins les vigognes et les guanacos, ces chameaux sans bosses vivent tous à des altitudes situées entre 3000 et 4500 mètres dans la Cordillère des Andes. Renseignements Le lama et le chameau sont de … Ces animaux ont fait partie d’innombrables cérémonies rituelles, soit comme sacrifice, soit en accompagnant les « seigneurs » dans leurs tombes. Mais parfois leur nid se situe dans des aires plus accessibles par terre, où ils le défendent alors activement[2]. « Les Condors des Andes adultes en bonne santé n'ont pas de prédateurs naturels connus[2] » (l'homme excepté donc). Sa période de gestation est de 348-349 jours. La période d’accouplement et de mettre bas a lieu entre les mois de janvier et avril. En général, l’alpaga a une meilleure fibre et plus abondante que celle du lama. L'image du condor inspire de nombreuses organisations internationales diverses et variées par sa symbolique du grand oiseau noir qui plane au-dessus de la Terre comme l'Opération Condor, l'équipe de hockey-sur-glace, les Condors de Bakersfield, le nom d'un modèle de manège appelé Condor, une revue ornithologique The Condor, une force aérienne de l'Allemagne nazie nommée la légion Condor, une compagnie aérienne allemande Condor et péruvienne Aero Cóndor, le premier avion à propulsion humaine le Gossamer Condor, le monde de la bande dessinée avec le personnage Condor créé en 1976, le monde du dessin animé avec L'Œuf du condor géant présenté en 1944. Le lama (genre Lama) est un terme générique désignant un grand camélidé de 2,5 m de long, originaire de la cordillère des Andes.Le terme « lama » désigne en lui-même deux espèces de camélidés d'Amérique du Sud : une espèce sauvage () ;une espèce domestiquée ().La forme de la tête est l'un des éléments caractéristiques qui les différencient. Les Nazcas au Pérou ont sculpté à la surface du désert de Nazca un géoglyphe géant représentant un condor entre 300 av. Mais contrairement aux autres rapaces la femelle est plus petite que le mâle pour une raison inconnue. Voir l'émargination importante (ou écartement des grandes rémiges en bout d'aile), qui n'est pas sans évoquer le "déroulé" des doigts du pianiste réalisant un accord arpégé. La plupart du temps le taureau sera vaincu et la victoire du condor qu'on libère, donnera l'occasion de poursuivre les festivités. On l’accuse d’attaquer les jeunes alpagas ou de tuer des vaches, des moutons et des chèvres en les effrayant volontairement pour qu'ils se précipitent d’eux-mêmes dans le vide. Commercialement, la fibre la plus fine que l’on peut trouver au Pérou est celle qu’on appelle « laine de bébé d’alpaga », qui est une fibre très douce et fine. Les historiens pensent que la tête du condor a été utilisée comme un autel sacrificiel[58]. Dans les constellations quechuas on retrouve l'astérisme du condor. Représentation de « Condor des Andes » sur timbres postaux. La femelle dépose un seul œuf (très rarement deux), de couleur blanc-bleuâtre et pesant 280 g pour une longueur de 75 à 100 mm[28],[2]. Par son envergure de 3,00 m[1] à 3,20 mètres[2] en moyenne, parfois plus de 3,20 m[3] et jusqu'à 3,50 m[4] au maximum, il est le plus grand rapace et le plus grand oiseau volant terrestre du monde, n'étant aujourd'hui dépassé que par l'Albatros hurleur (Diomedea exulans), qui est pour sa part un grand oiseau marin pélagique, avec une envergure moyenne de 3,10 mètres, soit généralement de 2,5 à 3,5 m[5], pouvant aller jusqu'à 3,70 m au maximum. Cette difficulté est à l'origine des pratiques de chasse au piégeage dont il était victime, car il était un trophée recherché par certaines populations autochtones. Il broute la végétation basse, et ses sabots rembourrés font moins de dégâts dans les pâturages que les ongulés domestiques. « Lors de la parade nuptiale, la peau nue du cou devient jaune vif ; les partenaires vont et viennent les ailes étendues, tout en poussant [de légers] cris mélodieux[1] [ainsi que des sifflements et claquements de langue[3]], puis se lissent mutuellement le plumage jusqu’à ce que l’un des deux oiseaux s’envole de la falaise. Appartenant à la famille des Cathartidae, ce rapace charognard est la seule espèce du genre Vultur. Il est d'une grande utilité en raison de sa polyvalence. Comme on l'a vu, son orteil postérieur est situé trop haut pour pouvoir se refermer, ses serres ne sont donc pas préhensiles et elles sont émoussées, ce qui l'empêche d'attaquer, d'emporter, de clouer au sol ou bien encore de déchiqueter une éventuelle proie par leur truchement[4]. Le Condor des Andes est principalement un charognard qui se nourrit de cadavres d'espèces diverses, notamment ceux de la famille des camélidés tels la vigogne, l'alpaga, le lama ou bien le guanaco, mais aussi de cadavres de bétail comme les moutons ou les bœufs. Les ailes larges, les grandes rémiges indépendantes et agiles ayant quasiment un rôle de gouvernes d'avion, ainsi que la peau ultrafine et rosée de son crâne qui peut ressentir les plus infimes variations de pression atmosphérique[4], sont bien adaptées à ce type de vol. Le mot condor quant à lui est un dérivé hispanique du mot quechua kuntur que les populations autochtones utilisent afin de désigner ce grand oiseau[45]. "Mon plus beau profilǃ" ː mâle adulte aux caroncules bien visibles, au zoo de Philadelphie. L'alpaga vit dans la cordillère des Andes, une chaînes de montagnes en Amérique du Sud. Le condor se nourrit de chair fraîche mais il ne rechigne pas non plus à se nourrir de chair en état de décomposition avancée[35]. Dans une arène, un condor est attaché au dos d'un taureau qui va être excité par les ponchos des espontaneados[62] comme lors d'une faena. Pour sa part la femelle fournit une viande comparable à celle de l'agneau de lait. Après plusieurs jours de guet, le condor est attiré par la carcasse, et approche. Il est bien adapté à la vie dans les Andes. Dans les Andes, les hommes utilisent les lamas depuis l' Empire inca. Les doigts solides et les pattes puissantes sont grisâtres à gris foncé, recouverts d'écailles rondes[2] et souvent blanchis par les déjections[15], comme leurs perchoirs habituels. Condor des Andes femelle adulte croisant au Cañon de Colca (Pérou, région d'Arequipa), en 2010. La période de gestation est de 340±10 jours. C'est un grand vautour noir avec une collerette de plumes blanches autour de la base du cou et, en particulier chez le mâle, de grandes taches blanches sur les côtés. Tunique sans manche (ou poncho) de culture Chancay (entre 1200 et 1470 de notre ère), avec des condors en vol. La femelle adulte a un plumage semblable à celui du mâle, mais elle n’a ni caroncule, ni crête, ni lobes au cou. C’est un ruminant rustique et résistant qui boit très peu. La tête et le cou sont presque déplumés et sont d'une couleur noire et rouge sombre. « Ce n’est pas avant six ans que le jeune condor perd ses plumes d'un marron sale pour se parer de l'étonnant plumage blanc et noir de l'adulte[4] ». J.-C. et 800 de notre Ère. Il représente également un aspect essentiel de la « personnalité » de ses paysages et a eu une grande influence sur l’idiosyncrasie sereine et contemplative de ses dominateurs. Ils ont migré vers le sud il y a 3 millions d’années. C’est le plus petit animal parmi les camélidés andins. Ils se sont adaptés ainsi car leur mode d'alimentation fait que leur tête est très souvent recouverte de sang et que cet endroit leur est particulièrement difficile à nettoyer. ♦ P. compar. Par contre, l’alpaga Suri a une fibre raide, soyeuse et longue, qui atteint environ 15 cm de longueur. « Dans le pire des cas, le condor est capable de survivre sans s'alimenter pendant une semaine ou deux[14] ». Statut de conservation de l'espèce, menaces et protection, Philosophical Transactions of the Royal Society of London. Les urubus en revanche, plus petits et moins forts que le condor, ont besoin de lui, de ses chiquenaudes et de son bec puissants, pour attaquer et déchirer le cuir résistant d'une carcasse fraîche[2], ce qui leur permet d'ajouter à leur menu des carcasses de grands animaux (bovins, camélidés), qu'ils ne pourraient pas ouvrir sans lui. Hôte de la puna, hauts plateaux désertiques des Andes, la vigogne affronte des altitudes comprises entre 3 500 et 4 800 m. Son cœur et ses poumons, proportionnellement plus gros que ceux des autres ongulés, lui permettent de compenser la raréfaction de l'oxygène dans l'air. Finalement, le guanaco, le camélidé le plus sauvage des Andes, atteint environ 1,80 mètres et habite dans les montagnes de l’Argentine et du Chili. Le Condor des Andes est sédentaire et ne migre donc pas, mais il peut couvrir de grandes distances pour se nourrir et trouver des carcasses[3].